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Qui suis-je ?

Juste pour vous donner une idée, en savoir un peu plus…
 
Licencié en Communications Sociales (1984), pendant une quinzaine d’années, je baigne dans le monde de l’audiovisuel à Bruxelles. En 2001, j’atterris en France, dans le Cher.  Je suis alors nouvellement diplômé en Psychomotricité et j’espère démarrer une autre vie. Toutefois, une non-équivalence de diplôme sur le territoire en décide autrement et m’oblige à repenser mon parcours professionnel.
 
Déjà bien armé manuellement par un papa entrepreneur électricien, exigeant et véritable touche-à-tout, cette réorientation forcée me permet d’à nouveau m’enrichir de nouvelles compétences autant administratives que techniques.
 
Installé en Dordogne depuis 2013, l’homme de l’audio-visuel reste amoureux de la lumière et décide d’un nouveau départ mutualisant bon nombre de ses savoir-faire.
 
En janvier 2015, c’est un autre grand saut professionnel et la découverte du tour à bois.  Neuf mois plus tard, le premier abat-jour en bois de bouleau (*) voit le jour.  Tonton Luciole apparaissait, le début d’un chemin créatif en résonance avec d’ancestrales envies, suite d’un parcours riche et multiple.
 
Pour l’anecdote, « TONTON LUCIOLE », mon nom de scène d’aujourd’hui, je le dois à ma nièce, Zoé, qui à l’âge de 4 ans, en jouant avec moi , m’a appelé de la sorte.  En entendant cela, j’ai fondu et me suis approprié le fruit de cet élan ludique.
 
(*) Le bois de bouleau a cette particularité de proposer une pseudo-transparence unique, oscillant entre le jaune et le rouge.

Mes valeurs ?

Conscient qu’inexorablement  les années apportent leurs avancées et leurs évolutions, je ne suis pas dupe que mes convictions d’il y a trente ans battent aujourd’hui un peu de l’aile.

Ce qui est donc important, c’est de faire la synthèse de l’acquit avec les notions du présent.

Autant j’ai adoré les voitures roulant au pétrole raffiné, autant je suis aujourd’hui perdu avec le tout électrique.  Et si je ne prône plus le carburant fossile, je ne nie pas forcément le génie humain qui a créé des engins incroyables, performants, esthétiques et innovants.

L’important, aujourd’hui, est de respecter notre monde tout en se respectant soi-même. Les changements sont là et ne pas en tenir compte serait suicidaire. Par contre, vouloir imposer ses solutions et ses points de vue serait une hérésie. Il faut composer et autoriser chacun(e) à évoluer pour trouver sa place. L’intégrisme ne génère que des tensions et flatte essentiellement les égos.

Dans ce monde de la « sylve » dans lequel j’interagis depuis ces dernières années, j’ai le souhait de transmettre ce que je sais tout en souhaitant faire le lien avec le monde de demain.